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Le X:  Puissance, Processus, Technologie du Futur

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Billet d'Actualités

Le X Crystal Sleeve Birefrigente - anisotrope  matière avec traçage

 " Greenpeace" abonde

Création d’un laboratoire commun de recherche sur les matériaux des technologies de la transition énergétique

(article publié le 23 juillet 2019, source site environnement-magazine)

Ce lundi 22 juillet, le CNRS, l’ENS de Lyon, IFP Energies nouvelles (IFPEN), Sorbonne université, l’Université Claude Bernard Lyon 1 et l’Université de Strasbourg, ont annoncé unir leurs compétences pour la création d’un laboratoire commun de recherche.

Baptisé « Carmen », le futur laboratoire commun de recherche (LCR) – créé par le CNRS, l’ENS de Lyon, IFP Energies nouvelles (IFPEN), Sorbonne université, l’Université Claude Bernard Lyon 1 et l’Université de Strasbourg – aura pour objectif de « renforcer les connaissances sur le transport moléculaire et/ou colloïdal dans des substrats poreux complexes et de développer de nouvelles méthodologies d’analyse fine de ces matériaux poreux afin d’accompagner le développement d’innovations pour la transition énergétique », expliquent les partenaires.

« L’étude de substrats mésoporeux ou lamellaires, comme les supports de catalyseurs et les sols, présente un grand intérêt pour la transition énergétique », estiment les instituts de recherche à l’origine du LCR Carmen. Ces matériaux peuvent notamment être utilisés dans la conversion catalytique de la biomasse, la réduction des contaminants ou le stockage des énergies renouvelables. « Les travaux du LCR CARMEN vont donc porter sur la caractérisation multi-échelle de leur structure dans des conditions de fonctionnement les plus proches possible de la réalité, dites operando, afin de les relier à leurs propriétés de transport ainsi qu’à leur réactivité », est-il ajouté.

Ce laboratoire va regrouper trois équipes du centre de résonance magnétique nucléaire à très haut champ de Lyon (CRMN, CNRS/ENS de Lyon/ Université Claude Bernard Lyon 1), de l’institut de physique et chimie des matériaux de Strasbourg (IPCMS, CNRS/Université de Strasbourg) et du laboratoire de physicochimie des électrolytes et nanosystèmes interfaciaux (Phenix, CNRS/Sorbonne Université), ainsi que celles du centre de recherche et innovation IFPEN.

Partenariat de recherche sur la gestion des déchets

(Aticle publié le 19 juillet 2019 source: site du CEA)


  

L'Andra, le CEA et la R&D d’EDF viennent de signer un accord de partenariat de recherche dans le domaine de la gestion des déchets radioactifs pour une durée de cinq ans (2020-2024).​

Cet accord marque la volonté des trois acteurs de poursuivre leur effort de R&D sur le long terme et de formaliser des collaborations tripartites, en particulier sur les sujets à fort enjeu en lien avec le projet de stockage géologique profond pour les déchets français les plus radioactifs porté par l’Andra (Cigéo), actuellement dans sa dernière phase de conception avant le dépôt de la demande d’autorisation de création à l’horizon 2020. 

Dans le cadre de cette collaboration, les trois organismes ont ainsi identifié six grandes thématiques de R&D : 
  • La caractérisation, le conditionnement et le comportement des déchets (déchets vitrifiés et graphites notamment) et des combustibles usés, ainsi que les méthodes de contrôles des colis, telles que l’imagerie haute énergie qui vise à identifier les matériaux présents dans un colis de déchets. 
  • Le comportement des matériaux qui sont présents dans les stockages de déchets radioactifs : les matériaux métalliques, cimentaires et argileux (la roche accueillant le stockage). Il s’agira également d’étudier de « nouveaux matériaux » comme les géopolymères.
  • Le transfert des éléments radioactifs et des toxiques chimiques : cet axe vise à renforcer la connaissance fine du comportement des éléments radioactifs et des toxiques chimiques au sein des différents matériaux des stockages. 
  • Les outils de surveillance des stockages qui regroupent deux aspects : d’une part le « monitoring » du stockage (c’est-à-dire l’observation / surveillance des évolutions du stockage ainsi que la gestion des données qui en sont issues), et d’autres part, la surveillance de la sismicité. 
  • Les outils et méthodes numériques en matière de simulation numérique haute performance ainsi que de gestion des incertitudes. 
  • L’environnement, et en particulier les modèles utilisés pour évaluer l’impact environnemental, ainsi que les évolutions climatiques. 

 


Sécurité des ponts : les professionnels interpellent les collectivités

(article publié le 17/07/2019 à 12:26 source site batiactu.com)

INFRASTRUCTURES. Dans la foulée du rapport sénatorial sur l'état des ponts en France, plusieurs organisations professionnelles ont tenu à rappeler aux collectivités territoriales les outils dont elles disposent pour garantir la sécurité de ces ouvrages d'art. L'idée d'un "carnet de santé" est notamment revenue sur la table.

 

Quelques semaines après la publication du rapport sénatorial sur l'état des ponts français, plusieurs organisations professionnelles ont tenu à rappeler aux collectivités territoriales que des outils administratifs et techniques sont à leur disposition pour réaliser le diagnostic de leurs ouvrages d'art et préparer d'éventuelles opérations d'entretien. Le Syndicat national des entrepreneurs spécialistes de travaux de réparation et renforcement de structures (Strres) et l'Ingénierie de maintenance du génie civil (IMGC) sont ainsi allés à la rencontre d'élus locaux et d'entreprises de travaux publics en Auvergne-Rhône-Alpes afin de les sensibiliser davantage à ce patrimoine spécifique. Une piqûre de rappel a d'abord été faite par Christian Tridon, président du Strres, sur les principaux enseignements de la mission parlementaire. Contacté par Batiactu, ce dernier s'est d'ailleurs dit "agréablement surpris" par le contenu du rapport sénatorial.
 
 
 
"Premier enseignement : il n'existe pas de cartographie précise des ouvrages d'art en France ! On estime entre 200.000 et 250.000 le nombre de ponts routiers en France, soit un pont routier tous les 5 km. [...] Selon la commission sénatoriale de l'aménagement du territoire et du développement durable, environ 10% de ce parc, soit 25.000 ponts, seraient en mauvais état structurel. Par ailleurs, 2.800 ponts sous gestion de l'Etat, construits dans les années 50 et 60, arriveront dans les prochaines années en fin de vie. L'Association des maires de France (AMF) collabore donc avec le Strres pour améliorer la gestion de ce patrimoine et trouver de nouvelles solutions."
 
 

Etablir un "carnet de santé" pour chaque ouvrage

Dès lors, que faire ? Les spécialistes estiment que les élus locaux doivent en premier lieu recenser les ouvrages de génie civil dont ils ont la gestion directe et les classer par nature ; puis, les infrastructures sont inspectées pour pouvoir ensuite prendre les mesures adéquates. Les professionnels ont notamment abondé dans le sens d'une des propositions des sénateurs, celle de la mise en place d'un "carnet de santé" attribué à chaque pont. Ce document permettrait non seulement un travail d'inventaire, mais également une centralisation et un partage des connaissances techniques et des données de maintenance. Par ailleurs, le carnet de santé en question comprendrait des informations techniques allant des photographies aux données géométriques et de géolocalisation des ouvrages.

De plus, un volet du document serait consacré aux opérations d'entretien préconisées suivant le type d'infrastructure. Puis une dernière fiche répertorierait l'ensemble des actions de maintenance et de réparation déjà effectuées sur l'ouvrage. "L'idée est d'affecter à chaque pont français un carnet de maintenance, comprenant une fiche technique, une fiche d'entretien et de maintenance, et une fiche de traçabilité", précise le président du Strres. "Ce dispositif permettrait aux collectivités gestionnaires de connaître facilement les recommandations des professionnels, telles qu'une préconisation de limite de charges ou les opérations de rénovation nécessaires après sondages et inspections. On ne peut pas, à l'heure d'un mouvement de société où tout est classé, répertorié avec les outils modernes, continuer comme ça. Un pont est avant tout un ouvrage sophistiqué."

Les professionnels amenés à travailler sur les ponts sont de moins en moins nombreux à posséder la qualification nécessaire

Nonobstant les difficultés juridiques pour savoir de quelle collectivité relève la gestion de tel ou tel pont selon que celui-ci enjambe un cours d'eau, une route ou une ligne de chemin de fer (30 à 50 ponts sont étiquetés comme "orphelins" car on ignore de quelle autorité ils relèvent), des difficultés financières se posent également : 90% de ces infrastructures étant gérées par les communes, groupements de communes, départements ou régions, les mêmes collectivités peinent à dénicher les financements nécessaires aux travaux d'entretien. Un autre problème mis en lumière par le rapport du Sénat concerne la main-d'oeuvre : les professionnels amenés à travailler sur les ponts sont de moins en moins nombreux à posséder la qualification nécessaire, et les collectivités subissent une perte de compétences en la matière. De son côté, l'IMGC a donc rappelé qu'il était impératif de former des ingénieurs spécialisés dans les diagnostics et les travaux de rénovation.

"Aujourd'hui, on n'a plus les gestionnaires d'il y a 20 ou 30 ans", déplore Christian Tridon. "Il faut recommencer à recadrer la compétence perdue pour des raisons de volonté politique. On doit remettre dans les programmes de l'enseignement supérieur des formations dédiées. Le 'Plan Marshall' proposé par les sénateurs doit être proportionné au drame de Morandi [le viaduc qui s'est effondré à Gênes, ndlr]. Car ce qui est arrivé en Italie pourrait bien nous arriver si on ne consacre pas les moyens nécessaires à nos ponts."

Prendre en compte la nature de l'ouvrage

Des chantiers qui dépendent de surcroît de la nature des ponts, étant donné que chaque matériau possède ses propres contraintes techniques : ceux en béton armé se dégradent la plupart du temps beaucoup plus vite que ceux en maçonnerie, du fait de pathologies qui entraînent la corrosion des aciers d'armature et, par extension, l'éclatement du béton. Les structures en métal, elles, se corrodent également au contact de l'air. Pour les protéger, des revêtements spéciaux doivent régulièrement être appliqués. Quant aux ouvrages de soutènement, situés en aval pour soutenir la route et en amont pour la protéger des glissements de terrain, ils sont généralement anciens et en maçonnerie de pierre. Leur fonctionnement n'est pas perturbé tant que leur résistance demeure compatible avec la poussée des terres et de l'eau.


Monde: Stockage et  gestion des déchets nucléaires, débat ?

(source National Geographic.fr, du 20 juin 2019)

Centrale nucléaire de Nogent-sur- Seine
Centrale nucléaire de Nogent-sur- Seine

Un récent rapport indique que 1,6 millions de m3 de déchets nucléaires seraient traités en France. 

La France est le pays le plus nucléarisé au monde. Si le nucléaire présente certains avantages, notamment d'un point de vue de l'indépendance énergétique de notre pays, le principal inconvénient de la production de ce type d'énergie reste le stockage de ses résidus et de la pollution que cela peut engendrer.[...]

DES DÉCHETS NON COMPTABILISÉS 

Selon la synthèse du dossier coproduit par le Ministère de la transition écologique et solidaire et par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) prendrait en charge 1,6 million de m3 de déchets radioactifs. Un chiffre repris par les documents officiels et accessibles au public, qui éluderait le réel stock de déchets radioactifs en France. « Contrairement à ce qu’affirme le dossier, le stock n’est pas de 1,6 million, mais plutôt de l’ordre de 200 millions de m3 » affirmait récemment Corinne Castanier, responsable de la réglementation et de la radioprotection à la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad), à nos confrères du Monde.

Didier Gay, directeur adjoint de l’environnement et Bruno Cessac du Service des déchets radioactifs et des transferts dans la géosphère (SEDRE), tous deux experts pour le compte de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), nous précisent toutefois qu’il est important de nuancer cette déclaration. « La différence importante entre ces deux estimations s’explique par la différence de périmètre pris en compte pour comptabiliser les quantités de déchets. » En effet, les 1,6 million de m3 correspondent au volume de déchets produits à fin 2017, dont la gestion est ou sera assurée par l’Andra.

À cette estimation, il est possible d’ajouter des volumes de déchets ayant fait l’objet de modes de gestion spécifiques et qui ne sont en effet pas comptabilisés dans les bilans. « Par cette dénomination, l’Andra désigne les déchets gérés pour des raisons historiques en dehors des filières que l’Agence a la responsabilité de développer et exploiter. » On retrouve notamment dans cette catégorie les déchets stockés au sein ou à proximité des périmètres d’installation nucléaires, représentant plusieurs milliers de tonnes et dont l’activité est de l’ordre de quelques becquerels par gramme ; les déchets immergés en milieu marin, dont le recours est interdit depuis 1993, ou encore les résidus de traitement de minerais d’uranium, les FA-VL, dont le niveau d’activité peut atteindre plusieurs milliers d’années et qui représentent à ce jour 50 millions de tonnes en France. [...]

En France, certaines zones sont très contaminées en dehors des sites eux-mêmes. C’est le cas du site des Bois Noirs. En amont de la mine Saint-Priest-la-Prugne, la rivière est complètement contaminée par les déchets émanant cette mine. « Les plantes aquatiques et les poissons, sont complètement contaminés par ces déchets radioactifs, qui peuvent avoir de grandes répercussions sur notre environnement » concède Roland Desbordes. Des études sur l’évolution de la qualité des eaux rejetées depuis les sites miniers et la stabilité à long terme en cas de séisme  de ces sites notamment sont également réalisées par Orano.


Le dilemme écologique

(source .blastingnews france du 22 juillet 2019)

Les déchets chimiques

Dans l'ordre des craintes rationnelles, les déchets chimiques, en termes de volume, de nocivité, de non-traçabilité, de prise en charge, apparaissent aussi graves voire plus graves que les déchets nucléaires. Car on n'y prête que peu d'attention. Nous voyons arriver sur le marché des tas de molécules dont personne ne vérifie la toxicité ou la nocivité. Certains chiffres font froid dans le dos. Ainsi la bible des chimistes, Chemical abstracts, qui répertorie 22 millions de produits actuellement utilisés, mentionne que « seulement 300 000 d'entre eux ont été testés sérieusement pour évaluer leur toxicité ». Les fibres céramiques, le bitume, les éthers de glycol occupent la première ligne des dangers potentiels mais encore mal cernés. L'écotoxicologie, en France comme ailleurs, dispose de très peu de moyens pour mener ses recherches, hélas, et ce n'est pas le monde industriel qui va nous apporter des informations crédibles.

 

L'impact sur la santé humaine

Gilles-Éric Seralini, professeur en biologie, fut l'un des premiers à tirer la sonnette d'alarme. Il affirme que les différentes pollutions qui affectent l'homme sont à l'origine de nombreuses maladies génétiques et avance qu'on aurait pu épargner la vie de millions d'enfants si on les avait mieux prévenues. Il est désormais avéré que les fœtus peuvent emmagasiner des polluants industriels, pesticides, toxines, gaz toxiques et cancérigènes, qui se fixent sur les gènes les plus utilisés sans que l'on puisse prévoir quel organe ils vont affecter. Ainsi, 90 % des cancers du sein dépendraient de facteurs environnementaux. Mais la recherche toxicologique est si balbutiante et privée de moyens que les chiffres précis font défaut. Gilles-Éric Seralini préconise la création d'une nouvelle discipline, l'écogénétique, qui permettrait de progresser dans ces nouvelles voies et de prévenir nombre de maladies que notre siècle verra croître de façon spectaculaire.


" Chiffre du jour: "

1 / 12 

Un des 72 câbles du pont de l'île de Ré s'est rompu et la circulation des poids lourds de plus de 40 tonnes est interdite.

*La précontrainte est une technique de construction des ouvrages en béton de ciment qui consiste à créer des efforts internes favorables. Ceux-ci sont soigneusement ajustés pour réduire les effets de la faiblesse du béton en traction. La précontrainte est le plus souvent réalisée à l’aide de câbles tendus enrobés de béton...

L'un des 12 câbles de précontrainte* d'une section du pont de l'île de Ré, s'est rompu. Rupture constatée lors d'une visite de contrôle "ordinaire".

Aucun risque d'effondrement comme pour celui de Gênes il y a un mois.

" Il faut prendre ça au sérieux" a affirmé Lionel Quillet, président de la Communauté de communes de l’île et premier vice-président du département.

Toujours d'après Lionel Quillet, " Il est surtout important de comprendre pourquoi il a cédé. "

Usure normale? Corrosion dû à l'entourage béton? Faut-il mieux protéger des câbles long de 480m et de 15cm de diamètre? Quelles solutions? ... ?

" On prend le maximum de précautions mais cela fait partie de la vie d’un pont  ", a-t-il ajouté.

RESULTAT :

Interruption de  la circulation des poids lourds de plus de 40 tonnes et une limitation de vitesse à 50 km/h contre les 80 actuels.




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